Ce bildungsroman provocant et émouvant est centré sur le beau gosse italien Tony Lattanzi, ses amis voisins, son frère et sa recherche d'une identité sexuelle confortable.
Le frère aîné de Tony, Sal, dans ce qui est clairement une tradition, se faufile dans la chambre de Tony tard dans la nuit pour un petit jeu sexuel d'homme à homme. Tony, conformément au rôle qui lui a été prescrit, "joue au possum" (fait semblant de se reposer) pendant que Sal lèche les fesses poilues et parfaites de son petit frère, puis le retourne pour sucer son long, joli et épais membre. Sal tente même d'enrôler Tony dans son jeu, en prenant la main inerte de Tony pour essayer de lui faire branler la bite de Sal, mais fidèle à lui-même, Tony feint de se reposer.
En frappant la bite de Tony, Sal lui fait gicler du sperme avant que Sal ne lui offre la sienne, qu'il nettoie consciencieusement avec le slip de bikini rouge de Tony. Ce n'est qu'après le départ de Sal que Tony se sent suffisamment à l'aise pour ouvrir les yeux et rester éveillé en contemplant son expérience.
Tony se réunit avec son équipe habituelle pour jouer une partie de strip-poker, mais se dérobe lorsque la partie devient surchauffée et que le cul est en jeu. Néanmoins, ses trois copains continuent, et quand le grand et studieux Rick Bolton gagne le cul maigre et défini de Johnny Rahm, Johnny pose obligeamment son cul sur la table de jeu pour que Rick le lèche. Johnny suce le beau gosse musclé et bronzé Steve Lipariti, puis le baise pendant que Steve suce Rick.
Dans ce trio très chaud et versatile, chaque homme peut baiser et être baisé alors qu'ils ne cessent de se toucher, de s'embrasser, de se lécher, de se rincer et/ou de se baiser l'un l'autre. Le réalisateur David Babbitt est à son meilleur ici en nous offrant de fabuleuses prises de vue en plongée alors que Steve s'agenouille devant ses copains assis et les baise d'un os à l'autre avant de les retourner pour une action similaire de rimming et de fingering. Ricky et Johnny font exploser leur deuxième charge sur le visage de Steve, lui donnant un visage de sperme alors qu'ils baignent sa belle gueule dans leur semence et la massent.
Pendant ce temps, Tony est sorti, marchant et se promenant, contemplant la révélation soudaine et l'énormité de toute l'énergie masculine et du sexe homo humpy qui l'entourent. Un prospectus abandonné effleure ses chaussures de sport et semble contenir la réponse à son dilemme : le téléphone rose. Plus tard, allongé dans son lit, il appelle le numéro et se branle sur les ministrations expertes de Jim Hunter, qui guide Tony dans les enfers de ses propres désirs. Comme on le lui a demandé, Tony plaque son épaisse saucisse contre le récepteur, joue avec son trou qui se fronce et essaie même d'autofellation comme le fait Jim avec tant d'expertise. Jim glisse son gland juteux entre ses jambes et dans son propre trou et se caresse et se suce lui-même dans un solo chaud, chaud, chaud. Tony fait une grosse giclée, tout comme Jim, qui lui tire dans la figure, la mange et la lèche sur ses doigts. Tony semble se retirer du terrain qu'il a parcouru ; le regard perdu dans le vide, il raccroche tranquillement.
Le soir, il se repose dans son lit et entre dans un monde obscur de fantasmes où, dans les limbes noirs, chaque porte qu'il ouvre révèle un nouveau désir sexuel. Sam Houston, un énorme homme noir avec un énorme poteau, séduit Tony en l'invitant à le rejoindre dans un fantasme de cuir ; une autre porte s'ouvre sur la maigre Cory Monroe en train d'engloutir la longue bite du rouquin Kevin Taylor dans une cellule de prison. Tony entre dans celle-ci, short de motard baissé, pour se faire caresser par le duo avant de s'enfuir de leurs mains lascives. Une autre porte montre la plantureuse Hilde Hagen, l'ancienne petite amie de Tony, vêtue seulement d'un bas de bikini en cuir, alors qu'elle se frotte les seins en se regardant dans un miroir. Ils s'embrassent, mais le cœur de Tony n'y est vraiment pas, et lorsque Sam et le duo en cage réapparaissent pour le narguer, il erre confusément.
Toujours dans le fantasme, Kevin se tape le cul exposé de Cory sur un chevalet de scie avant que Cory et Kevin ne se disputent la verge de Sam. M. Babbitt est à son meilleur ici alors que ces trois-là s'exécutent sans inhibitions ni réticences ; ils s'ébattent comme ils le veulent ! Tony se retrouve sur le cheval avec Cory et Kevin qui lui tiennent les jambes pour lui donner une bonne baise.
Soudain, Tony se réveille et voit son frère prêt à plonger dans son trou serré, les jambes en avant. Cette fois, Tony s'élève contre leur relation nocturne, ce qui blesse, humilie et offense son frère, qui s'en va en grognant. Tony doit faire face aux ambiguïtés de sa situation et de ses sentiments, et décide d'appeler Jim à nouveau, cette fois juste pour parler. Heureusement, Jim est aussi attentionné que libidineux, et parvient à résoudre au moins en partie le conflit qui l'oppose à Tony.
Un mois plus tard, Tony réapparaît sur le terrain de basket où Johnny joue seul. Johnny admet que Tony lui manque et se demande si la partie de poker ne l'a pas accablé et n'a pas causé leur rupture. Tony remet en question la participation de Johnny à la partie de jambes en l'air, lui demandant s'il aime cela ; Johnny fait une distinction importante : Johnny fait une distinction importante : "Est-ce que j'aime ça ou suis-je comme ça ?", ce qu'il se demande lui-même avec un oui retentissant !
Johnny invite Tony chez lui, et c'est là que le trouble intérieur de Tony est enfin percé. A contrecœur, Tony rejoint Johnny dans son lit, nu. Tony admet son ignorance et, avec assurance, Johnny enseigne au jeune homme vierge l'art de l'enculage. Tony suce Johnny avant qu'ils ne fassent un sixty-nine, et Johnny a le plaisir de rincer le trou du cul de Tony. Les deux baisent énormément et nous avons droit à des gros plans fantastiques. Tony se retire, se fermant à ses expériences, mais Johnny ne se contente pas de le laisser là. Tony se regarde dans le miroir, Johnny le prend tendrement dans ses bras et l'interroge sur leurs ébats. Tony dit qu'il ne sait pas, et ils s'embrassent passionnément.